XVIIIème ou XIXème siècle – Moellon calcaire. Les nombreuses sépultures du haut Entre-Deux-Mers isolées dans les champs, les terres ou les vignes, remontent aux guerres de Religion. Vers la fin du XVIIème siècle, les protestants n'ont plus accès aux cimetières, réservés aux catholiques. La tombe est enclose de murs bâtis
1900 – Calcaire à astéries. Cette maison a été élevée pour partie sur une ancienne demeure et pour une autre partie sur l'ancien cimetière communal, regroupé autrefois autour de l'église. Les fondations du mur occidental sont en léger retrait d'une muraille profonde, correspondant à l'emplacement aux douves du château-fort, et
Maison de Tonnelier dit "Barricayre" – XVIIème et XIXème siècle – Moellon de calcaire à astéries. Des barricayres, ou tonneliers, sont installés dans chaque village, au bourg, dans les hameaux ou dans une maisonnette isolée. Cette coucoute, ayant conservé la tampe et les portes du chai et de de l'étable,
XIXème siècle – Marbre et pierre blanche de Soumensac. La chapelle funéraire des Valois, dont la pierre blanche provient de Soumensac, a été cédée à la commune, qui en assure l'entretien. La richesse de son architecture, comportant une décoration néo-gothique abondante, témoigne de l'importance donnée autrefois aux bâtiments funéraires des
XXème s -Béton et acier. Cette cave coopérative est l'une des plus anciennes du département. La vinification y commence en effet dès 1937. À l'origine, la presse, installée sur les premières cuves en béton, n'a pas de toiture et le hangar d'un tonnelier tient lieu de bureau des coopérateurs. Un
Troisième quart du XIXème siècle – Calcaire blond de Frontenac. Le linteau dit "du château" repose sur les jambages d'une porte en pierre de taille de facture simple. Il est orné d'un dessin de fleurs aux tiges entrelacées. D'après la tradition, il provient d'un château élevé autrefois près de l'église,
Mairie – 1902 – Calcaire. Contrairement aux communes voisines, notamment à Auriolles, à Pellegrue et à Saint-Ferme, où la municipalité occupe les mêmes lieux depuis sa fondation, la mairie de Landerrouat a été déplacée 11 fois en deux siècles, occupant 9 maisons différentes. Après avoir accueilli une école, les bâtiments
XVIIIème et XIXème siècle – Calcaire dur de Frontenac et de Castillon. Cette maison à étage, restaurée, est construite à la manière d'une longère, avec une terrasse, en raison du pendage du terrain vers le sud-est. Cette orientation est privilégiée au XIXème siècle, alors qu'aux XIVème et XVème siècles les